Thursday 11 February 2010

Dynamite in Sequence. Orson Welles. Touch of Evil



Gilles Deleuze

Cinema 2: The Time Image
Cinéma 2: L'image-temps

Chapter 6:
The Powers of the False
Les puissances du faux

2e
The complementarity of short montage and the sequence shot
La complémentarité du montage court et du plan-séquence


[...] long sequence shot [...] presents in a simultaneous way a relation of forces in its variability, in its instability, its proliferation of centres and multiplication of vectors (the scene of the questioning in Touch of Evil.) [Deleuze Cinema 2, 1989: 135b]
[footnote 18:]
18 cf. Robin Wood's detailed analyses of Touch of Evil (Positif, no. 167, mars 1975): Vargas and Quinlan, 'each of the two men dominates the frame in turn, or both occupy the image in an ephemeral and precarious equilibrium'. [Deleuze Cinema 2, 1989: 295bc]

[...] there is the shock of forces, in the image or of the images between themselves. [...] a sequence shot produces a short montage, through constant reframing. [Deleuze Cinema 2, 1989: 135c]


[...] le long plan-séquence [...] présente simultanément un rapport de forces dans sa variabilité, dans son instabilité, dans la prolifération des centres et la multiplication des vecteurs (la scène de l'interrogatoire dans « Touch of evil ». [Deleuze Cinéma 2, 1985: 182c]
[note 17:]
17. Cf. les analyses détaillées de Robin Wood à propos de « Touch of evil » (Positif, n° 167, mars 1975) : Vargas et Quinlan, « chacun des deux hommes successivement prédomine dans le cadre, ou tous deux occupent l'image en un équilibre éphémère et précaire ». [Deleuze Cinéma 2, 1985: 182d]

[...] c'est le choc des forces, dans l'image ou des images entre elles. [...] un plan séquence produise un montage court, par recadrage incessant, comme dans « Touch of evil ». [Deleuze Cinéma 2, 1985: 182c; 183a]








Deleuze, Gilles. Cinema 2: The Time Image. Transl. Hugh Tomlinson and Robert Galeta. London & New York: 1989.

Deleuze, Gilles. Cinéma 2: L'image-temps. Paris: Les éditions de minuit, 1985.


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