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The Last Mad Race
René Clair
Entr'acte
Gilles Deleuze
Cinema 2: The Time Image
Cinéma 2: L'image-temps
Chapter III. From Recollection to Dreams: Third Commentary on Bergson
Chapitre III. Du souvenir aux rêves (troisième commentaire de Bergson)
3b: From the Optical and Sound Image to the Dream-Image
3b: De l'image optique et sonore à l'image-rêve
(3d: Ses deux pôles : René Clair et Bunuel)
The opposition is especially clear between Entr'acte and Un chien andalou: René Clair's film multiplies every technique, taking them in the direction of cinetic abstraction of the last mad race, whilst Buñuel's film works through more restrained means, and maintains the dominant circular shape in the consistently concrete objects that he has following one another through definite cuts. [Deleuze Cinema 2, 1989: 56a]
L'opposition est particulièrement manifeste entre « Entracte » et « Un chien andalou » le film de René Clair multiplie tous les procédés, et les fait tendre à l'abstraction cinétique de la folle course finale, tandis que le film de Bunuel opère avec les plus sobres moyens, et maintient la forme circulaire dominante dans des objets toujours concrets qu'il fait se succéder par couples franches. [Deleuze Cinéma 2, 1985: 79-80]
From Footnote 17:
Un chien andalou
proceeds in particular through static shots, and includes only a few
high-angle shots, dissolves and tracking shots forwards or backwards,
one single low angle shot, one wide shot, and one slow-motion shot;
which is why Buñuel himself regarded it as a reaction against the
avant-garde films of the time (not only Ent'racte, but Germaine Dulac's La coquille et le clergyman,
whose rich store of techniques was one of the reasons that Artaud,
inventor of the idea and screen writer, turned against this film). [Deleuze Cinema 2, 1989: 281a]
From Note 15:
« Un chien andalou »
procède surtout par plans fixes, et ne comporte que quelques plongées,
fondus et travellings avant ou arrière, une seule contre-plongée, un
seul panoramique, un seul ralenti ; ce pourquoi Bunuel lui-même y voyait
une réaction contre les films d'avant-garde de l'époque (non seulement «
Entracte », mais « La coquille et le clergyman
» de Germaine Dulac, dont la richesse de moyens fut une des raisons
pour lesquelles Artaud, inventeur de l'idée et scénariste, se retourna
contre ce film). [Deleuze Cinéma 2, 1985: 80d]
Deleuze, Gilles. Cinema 2: The Time Image. Transl. Hugh Tomlinson and Robert Galeta. London & New York: 1989.
Deleuze, Gilles. Cinéma 2: L'image-temps. Paris: Les éditions de minuit, 1985.
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